Jacques Lenot, qui êtes-vous ?
Quelle fut votre première émotion musicale
Assis sous le piano à queue de ma professeur(e) alors que j'avais six ans, Les Reflets dans l'eau de Debussy, joués par un pianiste inspecteur de l'Ecole Francis Planté dont j'étais élève en Charente Maritime...
Votre plus belle rencontre
Herbert von Karajan dans sa loge au Festival de Salzbourg en août 1973, après l'exécution de la cinquième symphonie de Gustav Mahler avec l'orchestre philharmonique de Berlin. J'étais invité par les Editions Universal de Vienne (auxquelles été liées mon premier éditeur, Amphion) et assistais au concert dans la grande salle du Festspielhaus en compagnie de son épouse – qui m'a donc demandé de la suivre...
Votre meilleur moment pour composer
Avant le lever du jour !
Votre dernière lecture marquante
Cette dernière semaine passée à la relecture de l'intégrale de l'œuvre de l'écrivain allemand W.G. Sebald (1944-2001) : Les anneaux de Saturne, Vertiges, Les émigrants, Austerlitz, Séjours à la campagne, D'après nature, Campo Santo, La description du malheur, Amère patrie, De la destruction...
Votre film culte
A bout de souffle, de Jean Luc Godard...