Compositeurs

Compositeur et organiste français né le 4 juillet 1939 à Dijon.

Diplômé de l'Institut grégorien de Paris en 1959, Jean-Pierre Leguay poursuit ses études au Conservatoire de Paris auprès de Simone Plé-Caussade, Rolande Falcinelli et Olivier Messiaen. Organiste titulaire à l'église Notre-Dame-des-Champs à Paris puis co-titulaire à la cathédrale Notre-Dame de Paris, il mène une carrière d'organiste, d'improvisateur, enregistrant de nombreux disques de musique des XVIIe au XXIe siècle, tout en se consacrant à la composition.

Compositeur français né le 18 juin 1970 à Roanne.

Compositeur français né le 14 février 1950 à L'Isle-Adam.

Parallèlement à des études d’architecture, Claudy Malherbe suit les cours de Gérard Geay (contrepoint renaissance), Alain Bernaud (harmonie), Yvonne Desportes (fugue), Max Deutch (composition), André Riotte (analyse formalisée) et Iannis Xenakis (formalisation mathématique).

Chercheur à l’Ircam, membre de l’Atelier de Recherche Instrumentale, il conduit un projet consacré aux nouvelles techniques instrumentales et aux débuts de la composition musicale assistée par ordinateur. A partir de ces travaux, il intègre dans sa syntaxe musicale les fonctionnements acoustiques des matériaux sonores et fait de l’ordinateur un véritable outil de composition musicale.

Compositrice française née le 15 novembre 1974 à Paris.

Pianiste de formation, Caroline Marçot étudie notamment le contrepoint, l’analyse et l’écriture au Conservatoire de Paris, dans les classes d’Alain Louvier et Edith Lejet. Elle complète son cursus par une licence de musicologie à La Sorbonne.

Passionnée par la voix, elle se produit au sein de la maîtrise de Radio France, du Jeune chœur de Paris et des Cris de Paris. Elle fonde le trio vocal Viva Lux avant de rejoindre l’ensemble Mora Vocis.

Compositeur, théoricien, pédagogue, musicologue et musicographe français né le 2 février 1925 à Verzy et décédé le 28 juillet 1996.

Après des études de mathématiques interrompues pendant la seconde guerre mondiale, Michel Philippot entre au Conservatoire de Paris et se forme à la composition auprès de René Leibowitz (1946-1950).

Compositeur espagnol né le 10 mars 1967 à Valladolid (Espagne).

Alberto Posadas étudie la musique à Valladolid puis à Madrid et se forme à la composition auprès de Francisco Guerrero.

Compositrice italienne née le 3 février 1963 à Rome.

Pianiste de formation, Lucia Ronchetti étudie la composition et l’informatique musicale à l’Accademia Nazionale di Santa Cecilia de Rome. Elle poursuit son parcours à Paris, suit le cursus de composition et d’informatique musicale à l’Ircam et obtient un doctorat à l’École pratique des hautes études. A l’Université de Columbia, elle soutient ensuite une thèse intitulée Timbre texture as formal determinant of composition. Durant son apprentissage, elle rencontre ainsi Sylvano Bussotti, Salvatore Sciarrino, Gérard Grisey ou encore Tristan Murail et bénéficie de leurs conseils.

Compositeur et chef d’orchestre français d’origine iranienne né le 3 décembre 1945 à Téhéran (Iran).

Après des études musicales en Iran, Iradj Sahbai complète sa formation aux Conservatoires de  Strasbourg et de Paris, où il suit l’enseignement d’Olivier Messiaen et obtient notamment le prix de composition.

Compositrice britannique née le 19 décembre 1967 à Londres.

Violoniste de formation, Rebecca Saunders étudie la composition auprès de Wolfgang Rihm à la Musikhochschule de Karlsruhe ainsi qu’à l’Université d’Edimbourg.

Elle explore les timbres, les sons soufflés, les respirations et travaille sur la relation des instrumentistes avec le son dans l’espace. Elle recourt ainsi fréquemment à des procédés de spatialisation (Chroma pour ensemble et objets sonores, 2003 ; Stirrings Still I pour cinq instrumentistes, 2006 ; Stasis pour seize solistes, créé par l’ensemble MusikFabrik, 2011). Le silence est un autre élément fondamental de sa conception musicale : elle le rend audible, compose avec et autour de lui.

Compositeur chinois né le 18 août 1957 à Changsha (Chine).

Initié aux instruments à cordes traditionnels chinois, Tan Dun joue de la viole et écrit des arrangements pour l’Opéra de Pékin. Il étudie ensuite au Conservatoire de Pékin puis aux États-Unis, à l’Université de Columbia, où il découvre les compositeurs minimalistes et post-minimalistes.