Maurice Ohana, l'oiseleur

Jeudi 14 Février 2013 - 09:30

Cdmc
Coordination François Porcile et Bruno Giner

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« Il faut être un oiseleur pour apprivoiser les sons sans les tuer », se plaisait à dire Maurice Ohana. Au moment de célébrer le centenaire de sa naissance, il demeure encore le « méconnu célèbre » qu’on saluait lors de sa disparition, le 13 novembre 1992. Sa musique, si personnelle et si singulière, exact reflet de sa farouche indépendance, n’est réductible à aucun étiquetage ni classification. Mais sa richesse se situe ailleurs, dans une libre synthèse de tous les courants ethniques et historiques. Ce que cette journée d’étude va tenter de mettre en lumière.

Partenariat Cdmc – Les Amis de Maurice Ohana

Accueil par Laure Marcel-Berlioz, François Porcile, Bruno Giner

Portrait. Les « trois fétiches » de Maurice Ohana par François Porcile

Maurice Ohana, ou la liberté d'esprit face aux dogmatismes esthétiques de l'après-guerre par Bruno Giner

Maurice Ohana et le micro-intervallisme par Alain Louvier

Les modèles médiévaux dans l'oeuvre de Maurice Ohana par Vincent Trollet, Frédéric Rantières

L'écriture libre et la notation chez Maurice Ohana par Edith Canat de Chizy

La singularité de l'univers vocal de Maurice Ohana par Roland Hayrabédian

L'art vocal de Maurice Ohana, une passerelle entre interprètes amateurs et professionnels par Guy Reibel

Table ronde autour du théâtre musical de Maurice Ohana avec François-Bernard Mâche, Pierre Barrat...

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