Les morts qui touchent
Texte : Alexandre Koutchevsky
Musique : Martin Matalon
Mise en scène : Jean Boillot
Dramaturgie : Christophe Triau
Scénographie : Laurence Villerot
Sonographie : Max Bruckert
Lumières : Ivan Mathis
Assistantes à la mise en scène : Cécile Arthus et Nadège Coste
Distribution : Arlette Bonnard, Géraldine Keller, David Maisse, Stéphanie Schwartzbrod
Musiciens : Antony Millet (accordéon), Bachar Khalife (percussions), Vassilena Serafimova (percussions)
La pièce est d'abord un étrange effet de montage, pour ne pas dire de collage. Deux morts, deux deuils : celui de Cristobal Kendo, parti de Ouagadougou caché dans le train d'atterrissage d'un avion d'Air France et tombé au-dessus de la forêt de Rambouillet ; celui d'une occidentale, grande voyageuse, dont la fille n'a de cesse de se souvenir.
Deux morts apparemment si différentes, l'une lointaine et l'autre proche ; deux morts, chacune unique, qui se mettent à résonner ensemble, toutes deux prises au milieu de millions d'autres.